Être dépendant à un médicament, c'est ne plus pouvoir s'en passer que ce soit pour des raisons physiques (symptômes de sevrage) ou psychologiques (mal-être). Ces cas de dépendance sont essentiellement observés avec trois familles de médicaments : les somnifères, les anxiolytiques et certains médicaments destinés à soulager les douleurs sévères.
Le fait qu'ils sont prescrits par des médecins conduit souvent à sousestimer leurs dangers. Parfois ils peuvent créer de nouvelles difficultés ou aggraver des problèmes qu'ils sont sensés améliorer.
Certains médicaments psychoactifs peuvent être des aides ponctuelles précieuses et parfois indispensables dans le traitement de certains troubles psychiques et dans des situations existentielles extrêmement éprouvantes, mais leur mésusage peut malheureusement aussi créer de graves difficultés de santé, conduire à la dépendance, entraver votre bien-être et votre qualité de vie et parfois vous dérober de vos ressources propres, primordiales pour amener une amélioration de votre situation.
Voila quelques idées pour le changement de votre situation et de vos problèmes :
1. N'arrêtez pas brutalement un traitement en cours sans consulter un médecin. Le sevrage brutal peut causer des difficultés graves et mettre votre vie en danger.
2. Si vous constatez que vous êtes devenus dépendant de médicaments, demandez conseil à votre médecin et informez-vous sur les mesures thérapeutiques et mesures d'accompagnement appropriées pour sortir de cette dépendance.
3. Demandez à votre médecin quelles activités complémentaires ou alternatives peuvent être utiles dans votre situation et vous permettre d'améliorer votre santé et votre bien-être
4. Restez à l'écoute de vous-même et faites confiance à vous-même quand vous avez le sentiment qu'un traitement ne vous fait pas de bien.
Les réactions de sevrage (nervosité, fatigue, insomnies, tremblements, difficultés à se concentrer, etc.) sont plus intenses lorsque le traitement a été long, avec des dosages élevés. Les symptômes de la maladie traitée peuvent également réapparaître. La dépendance psychique, lorsqu'elle est forte, peut inciter le patient à prolonger son traitement par crainte des conséquences d'un arrêt, renforçant ainsi l'éventualité d'une dépendance physique.
Le fait qu'ils sont prescrits par des médecins conduit souvent à sousestimer leurs dangers. Parfois ils peuvent créer de nouvelles difficultés ou aggraver des problèmes qu'ils sont sensés améliorer.
Certains médicaments psychoactifs peuvent être des aides ponctuelles précieuses et parfois indispensables dans le traitement de certains troubles psychiques et dans des situations existentielles extrêmement éprouvantes, mais leur mésusage peut malheureusement aussi créer de graves difficultés de santé, conduire à la dépendance, entraver votre bien-être et votre qualité de vie et parfois vous dérober de vos ressources propres, primordiales pour amener une amélioration de votre situation.
Voila quelques idées pour le changement de votre situation et de vos problèmes :
1. N'arrêtez pas brutalement un traitement en cours sans consulter un médecin. Le sevrage brutal peut causer des difficultés graves et mettre votre vie en danger.
2. Si vous constatez que vous êtes devenus dépendant de médicaments, demandez conseil à votre médecin et informez-vous sur les mesures thérapeutiques et mesures d'accompagnement appropriées pour sortir de cette dépendance.
3. Demandez à votre médecin quelles activités complémentaires ou alternatives peuvent être utiles dans votre situation et vous permettre d'améliorer votre santé et votre bien-être
4. Restez à l'écoute de vous-même et faites confiance à vous-même quand vous avez le sentiment qu'un traitement ne vous fait pas de bien.
Les réactions de sevrage (nervosité, fatigue, insomnies, tremblements, difficultés à se concentrer, etc.) sont plus intenses lorsque le traitement a été long, avec des dosages élevés. Les symptômes de la maladie traitée peuvent également réapparaître. La dépendance psychique, lorsqu'elle est forte, peut inciter le patient à prolonger son traitement par crainte des conséquences d'un arrêt, renforçant ainsi l'éventualité d'une dépendance physique.